Je reste mitigé sur le montage de la scène finale. J’aurais vu quelque chose de beaucoup plus violent. J’ai presque compris le choix de faire une scène poético-symbolique, mais je trouve que cette fin cohabite mal avec la scène où le héros sollicite l’intervention de Dieu (LA scène du film pour moi). Voilà, j’ai du mal à comprendre pourquoi on oscille entre le réalisme et le fantasme. Les loups sont parfois réalistes, parfois artificiels… Soit la production n’a pas su faire un choix, soit ils se sont dit que ça ferait bien d’utiliser toutes les solutions (sfx de synthèse, animatroniques, vrais loups ou chiens…). Y’a des moments où la cohérence peut aider à livrer une oeuvre crédible. ça reste un bon souvenir, surtout pour l’écriture, mais j’ai pas très envie de le revoir à cause de ces déséquilibres que j’ai ressentis dans le traitement.